Le playboy du cinéma et de la télévision des années 80 et 90, Dodi Al-Fayed, avait l’habitude d’être entouré de femmes célèbres, parmi lesquelles la Princesse Diana est sans doute la plus mémorable. Il était également proche de figures telles que la top-model Louise Dyrbusz, qui a connu un profond désarroi suite au tragique évènement qui s’est produit récemment.
Annabelle Delicata, fille de Louise Dyrbusz, a été tragiquement découverte morte dans l’East Sussex le mois dernier, peu après son 38ème anniversaire. Cette information bouleversante a été communiquée initialement le 27 février par la famille de James Cartland, l’ancien beau-père d’Annabelle, ainsi qu’ex-mari de Louise :
« Notre bien-aimée Anna est décédée tragiquement chez elle à Hove », a annoncé officiellement un porte-parole des Cartland, ajoutant que sa disparition est une « perte indescriptible pour la famille Delicata, son beau-père James, et ses nombreux amis ».
La mère d’Annabelle, qui fut aussi une des conquêtes de Dodi Al-Fayed, ne s’est pas encore exprimée publiquement suite au drame. Cependant, James Cartland a évoqué ce chagrin insurmontable :
« Je suis dévasté. Elle était la fille la plus merveilleuse et la plus aimante. C’est épouvantable au-delà des mots », a-t-il déclaré en larmes au Daily Mail. Il a aussi révélé qu’il avait renoué avec Annabelle en 2021 après l’avoir perdue de vue pendant 23 ans suite à son divorce : « C’était merveilleux de la retrouver après si longtemps ».
Il s’agit d’une histoire malheureusement terminée de manière abrupte par le destin.
Les mémoires d’un Prince : Harry et ses reflexions sur Dodi Al-Fayed
Alors que nous revivons le tragique sort de ceux qui ont gravité autour de la personnalité de Dodi Al-Fayed, impossible d’omettre les souvenirs du Prince Harry de sa relation avec ce dernier. Enfant, pour le Duc de Sussex, Dodi était « un nouvel ami plutôt sympa » pour sa mère, aussi « un brin envahissant ». « Il s’était mis à nous faire du gringue, à nous et à Maman. « Et principalement à Maman. Seuls deux énormes cœurs rouges pouvaient se lire dans ses yeux », se rappelle le Prince dans ses mémoires, racontant que Dodi Al-Fayed « jouait un peu au coq ».
Toutefois, Harry assista à la joie de sa mère en présence de Dodi, un bonheur qui lui apporta un évident -amplifié par rétrospection- confort. En clair, il était ravi de la sérénité que Dodi Al-Fayed procurait à sa mère.