Luis Suarez se livre à coeur ouvert et fait une révélation bouleversante sur sa santé.

Tournons nos regards vers les exploits de Luis Suarez. À l’âge de 36 ans, Le Pistolero continue de nous divertir avec ses buts à répétition. En soirée, entre dimanche et lundi, ce dernier a donné au public de Grêmio une prestation à retenir lors du match contre Vasco de Gama. C’était en effet le dernier match de Suarez chez Grêmio, et quelle façon de dire au revoir ! Il a su marquer l’unique but du match, un but crucial face à l’équipe dirigée par Dimitri Payet.

 

Il est clair que Suarez n’a pas encore rangé ses crampons. En effet, des rumeurs se font entendre concernant la prochaine étape de sa carrière. Pourrait-elle se poursuivre en MLS, plus précisément à l’Inter Miami ? Si c’est le cas, un visage familier pour Suarez serait là pour l’accueillir. Si vous suivez le football, vous l’aurez deviné – il s’agit de Lionel Messi, son ancien coéquipier à Barcelone.

Le quotidien pas si rose de Suarez et son genou récalcitrant

 

Incroyable mais vrai, notre cher Suarez a des difficultés grandissantes pour jouer au football. Lors d’une interview choc pour Sport 890, il a partagé un détail surprenant de sa vie quotidienne. « Mon genou droit présente une hyperextension sur la partie externe. Mon genou, étonnamment ne s’étire pas complètement. C’est un souvenir de mon intervention chirurgicale en janvier 2020 à Barcelone. J’ai un pincement en continu que je ressens, mais heureusement, je n’ai pas d’enflure« , a prudemment attesté l’attaquant uruguayen.

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Il ne s’arrête pas là et rajoute : « S’épancher en liquide, mon genou ne le ferait pas. Parfois, il se fige, devient tellement rigide que je ne peux plus le courber. L’état dans lequel je me retrouve après les matchs est tout simplement inimaginable ». Suarez nous dévoile ensuite une bien triste routine : « A la veille des matchs, je dois ingérer trois pilules, une autre le lendemain matin, et une dose de Voltaren (un anti-inflammatoire et analgésique) peu de temps avant le coup d’envoi. Mon genou n’est pas le seul à souffrir. Parfois, les tendons en dessous sont douloureux à cause des faux mouvements ».

 

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