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Le célèbre footballeur Marco Verratti emprunte-t-il le chemin menant au FC Barcelone ?
Relocalisation possible aux terrains de foot de l’Europe pour l’Italien Marco Verratti ? Si l’on en croit les informations partagées par Mundo Deportivo, cet athlète de 31 ans pourrait bientôt arpenter les pelouses du FC Barcelone. C’est une nouvelle intrigue dans sa carrière, après avoir quitté le PSG pour le club qatari Al Arabi il y a tout juste un an.
Verratti et le FC Barcelone: Une romance en perspective ?
Il faut savoir que le nom de Verratti tournait déjà dans les couloirs du club catalan en 2017. Son profil attirait en effet l’attention de l’équipe espagnole. Ajoutez à cela la chance manquée d’intégrer le Barça lors de sa sortie du PSG à l’été 2020. Motif du contre temps ? Le PSG ayant refusé d’entrer en pourparlers avec le suivant immédiat de la Liga.
La décision de Verratti a tous les yeux rivés sur lui
Est-ce que le fait de se diriger vers l’Espagne réjouit vraiment Verratti ? Il lui faudrait accepter une diminution significative de ses revenus. De surcroît, son éventuelle intégration au FC Barcelone n’est pas sans interrogation. Sa performance durant son séjour au Qatar et son engagement envers le football sont matières à réflexion. Seuls le temps et la suite des événements nous permettront d’anticiper la prochaine étape du sportif.
Le Barça envisage de nouvelles recrues
Pensez au football comme à un jeu d’échecs. Le FC Barcelone réfléchit à une stratégie novatrice. À l’instar des plus grands stratèges, ils ont plusieurs coups d’avance, sans certitude sur le choix du joueur Marco Verratti. Les rouages de la machine catalane sont en pleine mutation, le terrain pourrait être redessiné avec de nouvelles têtes.
Leurs cibles prioritaires ? Joshua Kimmich du Bayern Munich, Douglas Luiz d’Aston Villa et Martin Zubimendi de la Real Sociedad sont en lice d’après Sport. Cependant, convaincre ces match winners de changer d’air ne sera pas une mince affaire. Le coût ? Un ticket d’entrée astronomique à hauteur de 60 millions d’euros minimum par recrue. Un dilemme pour les dirigeants devant jongler avec des tensions financières.