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En ce dimanche 21 janvier, les rues de Paris ont résonné des pas des milliers de participants à la célèbre « marche pour la vie », comme chaque année à la date anniversaire de la . Ces manifestants ont exprimé leur opposition à l’inscription de l’avortement dans la Constitution – sujet brûlant débattu à l’Assemblée le 24 janvier – mais aussi à la future loi concernant . De nombreux médias, tels que et , ont couvert l’événement, notant l’implication de plusieurs membres des Femen, désireuses de faire entendre ce droit des femmes.
Vous auriez pensé que cette marche serait passée inaperçue pour certaines célébrités ? Détrompez-vous. Laura Smet, la fille de et de , bien connue pour son franc-parler, n’a pas pu retenir sa colère. Sur une story diffusée le même jour sur , elle s’est expressement exclamée : « Des manifestations en 2024 contre… l’avortement ? ! Sérieux ? On en est encore là ? Je comprends mieux pourquoi j’ai un problème avec les églises ». Voilà une figure de proue qui n’hésite pas à prendre position sur cet épineux sujet.
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Nathalie Baye révèle son expérience sur l’avortement
La célèbre actrice Nathalie Baye avait partagé, lors d’une interview poignante avec Marie-Claire en 2008, le récit de sa propre expérience d’avortement. C’était à l’époque de sa jeunesse, de sa première relation amoureuse, une période de vie sans le sou. Sans détour, elle avait déclaré : « La première fois, je n’avais pas 20 ans. J’étais trop jeune, c’était mon premier amoureux, on n’avait pas un rond, c’était une évidence ».
La seconde fois fut néanmoins plus éprouvante pour Nathalie, puisqu’elle n’était pas certaine de la durée de la relation qu’elle vivait alors : « La seconde fois, cela a été plus douloureux. Je n’étais pas certaine de la durée de l’histoire que je vivais. » Ses paroles témoignent de l’intensité émotionnelle qui accompagne souvent ces décisions.
Nous rappelons également les mots historiques de , prononcés lors de la législation de l’avortement à : « Aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes. C’est toujours un drame et cela restera toujours un drame. » Ce propos, toujours très actuel, renforce les témoignages de ces femmes souvent livrées à une lutte intérieure en choisissant l’avortement.
En effet, selon les dernières données officielles relayées par BFMTV, la belle France enregistrait pas moins de 234 300 Interruptions Volontaires de Grossesse (IVG) en 2022. La question de l’avortement, toujours aussi sensible, a vu l’opinion publique se diviser, en témoigne la récente ‘marche pour la vie’ à laquelle Nathalie Baye, toujours aussi engagée, n’était évidemment pas insensible.
Forts de ces informations, on comprend encore mieux l’ardeur avec laquelle Laura Smet, fille de Nathalie Baye, défend le droit à l’avortement.
