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Toute la lumière sur les projets futurs de Khamzat Chimaev, étoile montante de l’UFC
Le nom de Khamzat Chimaev s’impose comme une nouvelle référence dans le monde de l’UFC, tant ses exploits ne cessent d’être l’objet de toutes les attentions. Cependant, il a récemment exprimé son désaccord avec une rumeur qui le mettait au premier plan de l’UFC 300.
Comme une traînée de poudre, la rumeur s’est vite éteinte. Ariel Helwani, l’homme qui demeure l’étoile la plus brillante du journalisme sportif, a posé son point de vue avisé sur la question. Au cours de son intervention dans son émission The MMA Hour, il a évoqué diverses hypothèses visant à définir le combat royal du temps fort à venir : l’UFC 300. Deux affrontements possibles impliquant Chimaev ont ainsi été discutés. Le premier avec Dricus du Plessis, le redouté champion middleweight et le second face à Leon Edwards, roi indétrôné des welterweights.
Ce scénario est hautement stimulant pour notre Khamzat. D’autant qu’il soulevait précédemment l’idée qu’après contre Kamaru Usman, . Contre toute attente, même si ‘Borz’ ne craint pas de se jeter dans la gueule du loup, la réalité a une fâcheuse tendance à contrarier les plans.
Le combat de Khamzat Chimaev à l’UFC 300 : un enjeu de taille sur fond de contraintes calendaires
A l’évocation du nom de Khamzat Chimaev, tout amateur de l’UFC s’attend à une intensité maximale. Ce combattant, fervent pratiquant de l’Islam, se trouve toutefois confronté à un dilemme. Quelle décision prendre lorsqu’un titre prestigieux pourrait se trouver à sa portée, mais que le calendrier est inconciliable avec ses obligations religieuses ?
Notre cher Khamzat Chimaev brouillerait les pistes à l’orée de sa prochaine prestation. En raison de contraintes administratives, son combat se déroule hors des murs américains. De plus, la date de l’Apollo event, l’UFC 300, tombant le 13 avril, complique davantage la donne. Coïncidant avec la période du ramadan, cette planification reste problématique pour notre combattant.
Un fan curieux optait pour une interpellation directe sur les réseaux sociaux. La question, simple mais percutante: « Participeras-tu au combat ? ». Chimaev répondit sans ambiguité : « Je ne combats pas pendant le Ramadan« . La rumeur, alimentée par Ariel Helwani, spéculait même sur deux combats alternatifs pour ce grand rendez-vous. La balle est désormais dans le camp de Dana White, dirigeant de l’UFC, homme habitué aux prises de décisions abruptes.
