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Isabelle Boulay dévoile son coeur maternel
La très réservée Isabelle Boulay, donne un aperçu de sa vie privée dans une rare interview avec Closer. En plein milieu de la promotion de sa nouvelle tournée D’Amériques et de France, où elle interprétera tous ses grands hits et les nouvelles ritournelles de son dernier album, Les Chevaux du plaisir, l’étoile de 51 ans brille d’une joie maternelle particulière.
Un trésor de la vie pour Boulay
C’est lors de cette interview que Boulay a dévoilé son penchant maternel. Elle n’a pas hésité à déclarer fièrement : « Mon fils est la gloire de ma vie ». À titre d’information, pour toujours être présente pour son fils de 15 ans, l’artiste a mis en place avec le père de son fils, résidant au Québec, un système de garde alternée.
L’amour d’une mère exemplaire
Boulay résonne avec émotion, « Jamais loin plus de deux semaines » et se dit « très fière » de son garçon. L’interprète de Un jour ou l’autre promet de « toujours [être] là » pour son fils. Elle emprunte avec passion les paroles de Françoise Sagan en affirmant : « Je veux que mon fils sache que je serai toujours là entre lui et la vie. ».
La priorité d’Isabelle Boulay : Son enfant
Isabelle Boulay, une mère dévouée, a révélé lors d’une intervention dans Le Journal inattendu sur RTL qu’elle s’était questionnée sur la poursuite de sa carrière en France après la naissance de son enfant. L’incidence majeure que cela a eu sur sa vie personnelle et professionnelle est indéniable. Toutefois, avec une dose insoupçonnée de courage et un amour maternel indubitable, elle a déclaré avec sensibilité: « Je n’aurais jamais fait aussi bien pour mon enfant. »
Un écrin entre deux pays
Sans renoncer à son amour pour la France, elle a fait le choix de partager son temps entre la métropole et le Québec, toujours avec la volonté de rester présente pour son fils. Ce défi qu’elle relève quotidiennement démontre son infinie dévotion maternelle. Affectueusement, elle raconte : « J’ai veillé à ce qu’il y ait des personnes pour prendre soin de mon fils aussi bien que je l’aurais fait. »
