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- Pourquoi passer un examen blanc du code de la route ?
- Les pièges que permet d’éviter l’examen blanc du code de la route
- Négliger l’élément perturbateur
- Faire une analyse trop rapide de la situation
- Survoler la question
- Oublier de vérifier le marquage au sol
- Confondre une autorisation et une obligation
- Les questions faites en 2 parties
L’examen blanc du code de la route a pour but de vous préparer à l’examen final, il est d’ailleurs mis en ligne différents exemples de tests qui vous y aideront. Le principe y est le même que pour l’examen officiel : 40 questions vous sont posées et qui répondent aux mêmes conditions que celles du jour J. Le même nombre de questions, même degré de difficulté, ainsi que le délai de réponse. Vous pourrez alors vous entraîner en immersion totale dans les conditions nécessaires.
Pourquoi passer un examen blanc du code de la route ?
Durant vos entraînements en ligne ou en auto-école, vous allez croiser bon nombre de « pièges », cela peut être des éléments sur la photo auxquels vous n’aviez pas prêté attention, ou à une formulation de phrase qui demande un peu plus d’attention que l’idée générale qu’elle transmet. Nous vous communiquerons dans ce qui suit, ce qu’il faut remarquer. Les pièges à éviter à l’examen du code de la route, et que vous ferez sûrement lors de l’examen blanc sont les suivant :
- Négliger l’élément perturbateur ;
- Faire une analyse trop rapide de la situation ;
- Survoler la question ;
- Oublier de vérifier le marquage au sol ;
- Confondre une autorisation et une obligation ;
- Les questions faites en 2 parties.
C’est principalement à cause de ces erreurs répétitives qu’il est utile de passer l’examen blanc du code. Cela n’est clairement pas grave si vous tombez dedans lors de l’examen blanc, mais afin de ne pas commettre ces erreurs lors de l’examen final, nous allons vous les détailler.
Les pièges que permet d’éviter l’examen blanc du code de la route
L’examen blanc sert de préparation à l’examen final. Les erreurs faites le plus souvent lors de cet examen sont celles citées plus haut, et afin de mieux les comprendre, nous allons un peu plus rentrer dans les détails.
Négliger l’élément perturbateur
C’est un élément qui pourrait passer totalement inaperçu, mais qui changera du tout au tout votre raisonnement face à la situation. Par exemple, vous pouvez avoir au premier plan, un piéton immobile, et au second une voiture qui vient de déboucher d’une priorité à droite. Par manque d’attention, vous pourriez ne prendre en compte que le piéton et négliger la voiture en arrière-plan.
Faire une analyse trop rapide de la situation
Dans certaines questions, il est demandé à titre d’exemple, de designer la zone la plus à risque. Il peut s’agir d’un piéton attendant de traverser, ou en plein milieu d’un passage piéton, d’une voiture garée, qui compte bientôt s’insérer dans le trafic, ou d’un véhicule trop proche, repérable dans le rétroviseur. Gardez en tête qu’un élément que vous ne voyez pas peut être bien plus dangereux qu’un autre bel et bien visible.
Survoler la question
On peut vous préciser dans les réponses proposées « uniquement à droite » ou alors « uniquement à gauche », dans ce cas réfléchissez à la signification des marquages et des panneaux présents sur l’image, c’est en eux que réside votre réponse.
Oublier de vérifier le marquage au sol
La signalisation comporte bien plus que des panneaux, il ne faut jamais oublier de vérifier le marquage au sol. Si par exemple, on vous demande ce que la signalisation indique, et que vous êtes face à une route comportant une ligne axiale, ainsi qu’un panneau de limitation de vitesse à 60 Km/h, cela veut dire que vous ne devez pas rouler à une vitesse supérieure à 60 Km/h, mais qu’il est aussi interdit de doubler.
Confondre une autorisation et une obligation
Pouvoir et devoir ne représentent pas la même chose, à titre d’exemple, afin de mieux comprendre en temps de neige, vous pouvez allumer vos feux antibrouillard, mais vous ne le devez pas, c’est un conseil et non une obligation. Pareil pour la limitation de vitesse, le chiffre écrit sur le panneau vous indique la vitesse que vous ne devez pas dépasser et non à laquelle vous devez rouler.
Les questions faites en 2 parties
C’est une question composée de 2 sous-questions, elle ne représente pas généralement une grande difficulté. Ce qu’il faut toutefois relever, c’est qu’il est nécessaire d’avoir bon aux deux sous-questions pour avoir le point, les demi-points ne sont pas pris en compte.
Voilà ! Maintenant, vous n’avez plus qu’à passer votre examen blanc, afin d’être sûr(e) d’avoir tout assimilé.