L’ancienne chef de l’exécutif, Élisabeth Borne, dans une réjouissante révélation (encore à confirmer par l’Élysée), n’aurait pas prononcé un simple adieu en quittant ses fonctions. Après de récentes rumeurs, il semblerait que le premier jour de la semaine, le 8 janvier, cachait une invitation à prendre les rênes du ministère des Armées. Une offre alléchante formulée lors d’une entrevue à l’Élysée le dimanche 7 janvier aurait été accueillie avec un refus catégorique.
Si Élisabeth Borne avait accepté, c’est le siège actuel du 60 boulevard du général Martial Valin qui lui aurait été réservé. Quel retournement de situation quand on sait qu’elle était actuellement lui qui occupait cette position, comme les pronostics l’avait prédit.
À cela s’ajoute un indice très significatif de son ressenti : notre femme politique ne semble nullement désireuse de collaborer avec son successeur. Dans son discours le mardi 9 janvier à l’hôtel Matignon, Élisabeth Borne exprime sans ambages sa joie « de continuer à servir [son] pays » en assumant son nouveau rôle au Palais-Bourbon, comme députée du Calvados.
Élisabeth à Matignon : Sous tension!
La belle Élisabeth Borne, fraîchement démissionnaire, n’a certainement pas la nostalgie de ses moments passés avec . C’est ce qu’a révélé , dans un passage télévisé sur BFMTV peu de temps après que notre Élisabeth se soit offert une sortie de scène. Entendons-nous bien, l’ex-chef de l’exécutif et le président n’étaient vraiment pas les meilleurs compagnons de banc de comté.
Pourrait-on dire que la vue de notre ex-ministre provoquait chez notre président une exaspération redoutable? « Il la trouvait raide, il la trouvait mécanique, trop techno., n’est-ce pas, Alain« , a-t-elle joyeusement balancé à son confrère journaliste. Oh, quel spectacle mes chers, Élisabeth a-t-elle quitté le navire juste à temps ?