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- Affaire de la revendication attaquée: le Kremlin rompt enfin le silence
- Les terroristes sur le chemin de l’Ukraine: les raisons bloquantes
- Le Kremlin finit par parler mais Kiev dément les allégations
- ‘Kiev n’a rien à voir avec ce crime’ : les attaques rejettées
- The Kremlin détient une dizaine de personnes suspectées
- Trois autres suspectés jusqu’au même jour
Affaire de la revendication attaquée: le Kremlin rompt enfin le silence
C’est ce lundi 25 mars que le Kremlin a enfin pris la parole concernant l’attaque concertée par des radicaux islamistes dans une salle de concert, qui s’est déroulée vendredi dernier. Le président russe confirme ces agressions perpétrées au nom d’un islamisme radical. Après l’attaque, les agresseurs ont tenté de se précipiter vers l’Ukraine, confirme le président.
Les terroristes sur le chemin de l’Ukraine: les raisons bloquantes
Au cours d’une réunion gouvernementale, le président russe pose une question troublante : « Pourquoi les terroristes, après leur acte criminel, ont-ils tenté de partir en Ukraine ? Qui les attendait là-bas ? » Kiev continue de nier toute implication dans le crime.
Le Kremlin finit par parler mais Kiev dément les allégations
C’est connu, la revendication de l’attaque par l’État islamique n’a pas ébranlé le Kremlin. Même le combatif Vladmir Poutine, en duo avec son FSB, n’a pourtant pas mentionné une connexion djihadiste. Ils ont plutôt regardé du côté de l’Ukraine, une hypothèse que Kiev et les nations occidentales ont vivement rejetée.
‘Kiev n’a rien à voir avec ce crime’ : les attaques rejettées
Kiev, qui avait sur le dos une offensive russe depuis février 2022, a tenu à s’éloigner de l’incident. Cette dénégation n’est pas particulière à Kiev, puisque nos amis américains ont également réfuté les allégations du président russe.
The Kremlin détient une dizaine de personnes suspectées
Alors, qu’en est-il des suspects ? On nous rapporte que les autorités russes ont mis la main sur onze suspects, ces derniers comprenant quatre assaillants présumés. Cependant, leurs profils restent assez discrets à ce jour. Au milieu de ce groupe, au moins l’un d’entre eux est originaire du Tadjikistan, en Asie centrale, et a été mis en garde à vue jusqu’au 22 mai. Sachant qu’ils pourraient faire face à une prison à vie, il est intéressant de noter que leur profil reste flou.
Trois autres suspectés jusqu’au même jour
Trois suspects supplémentaires ont aussi été mis en garde à vue ce lundi jusqu’à la même date. Selon nos collègues de l’agence de presse Ria Novosti, cette liste comprend un père et deux de ses fils. Le fils, natif du Tadjikistan, jouit de la nationalité russe.
Source : AFP