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- L’Union européenne à la rescousse : Une Intégration sanitaires plus forte depuis 2020
- De l’obscurité à la lumière : L’évolution du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies
- Apparition de la nouvelle force de santé de l’UE : Hera
- Des inégalités persistantes face à la vaccination
- Le reste à charge français bat des records !
- Un coup de pouce de Bruxelles
- L’Allemagne en tête des dépenses de santé
L’Union européenne à la rescousse : Une Intégration sanitaires plus forte depuis 2020
Qui aurait parié sur le fait que le domaine de la santé serait l’un des plus impactés par les actions de l’UE depuis 2020 ? Difficile à croire, surtout lorsque l’on sait que la santé est une compétence traditionnellement faible de l’UE selon ses propres traités.
De l’obscurité à la lumière : L’évolution du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies
Avant que le Covid ne frappe, l’agence connue sous le nom de Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) était loin d’être sous les projecteurs.
Apparition de la nouvelle force de santé de l’UE : Hera
Il y a un ‘Après’. L’ECDC a reçu des renforts de taille grâce à la création de l’Autorité européenne de préparation et de réaction en cas d’urgence sanitaire (Hera). Le but avoué ? Être mieux armé face à une éventuelle nouvelle pandémie.
Des inégalités persistantes face à la vaccination
Néanmoins, soulignons que tout le monde n’a pas eu les mêmes chances d’être immunisé contre le virus. En 2024, les pays plus modestes enregistrent des taux de vaccination encore décevants : 42 % en Roumanie et seulement 30 % en Bulgarie, un constat bien éloigné du score impressionnant du Portugal (95,6 % pour la première dose).
Le reste à charge français bat des records !
Exit Berlin, la palme du reste à charge le plus faible en Europe revient à un autre pays, et c’est bien la France ! Avec un petit 8,9 %, les patients français sont mieux lotis que leurs voisins italiens et espagnols qui, eux, gèrent des restes à charge de 21,9 % et 21 % respectivement.
Un coup de pouce de Bruxelles
Mais il faut dire que l’Union européenne est un acteur clé dans ce constat. Prévoyant un budget de 5,3 milliards d’euros pour épauler les États membres de 2021 à 2027, elle est le véritable soutien des systèmes de santé européens. Et on peut dire que cela porte ses fruits, surtout lorsque l’on a la France pour preuve !
L’Allemagne en tête des dépenses de santé
Et à qui revient la couronne des dépenses de santé les plus poussées ? À l’Allemagne, bien entendu ! Mais souvenons-nous que dépenser plus ne signifie pas forcément une prise en charge meilleure ou égale pour les patients. Un petit rappel que les statistiques ne sont pas toujours aussi simples qu’elles en ont l’air.