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Avec beaucoup de bienveillance, David a choisi de parler de son affection particulière à l’égard de sa famille. On peut trouver une citation particulièrement émouvante dans le livre : « Chacun sait que je ne les ai pas beaucoup vues, mais je voudrais qu’elles soient sûres de l’amour que je leur porte et qui n’est pas une affection de principe« , confie-t-il.
Tensions familiales et espoir de retisser des liens
Cependant, tout n’est pas rose dans la vie de David. Sa relation avec sa belle-mère, Laetitia Hallyday, a connu des moments difficiles en raison d’un conflit familial qui l’a éloigné de ses sœurs, Jade et Joy. Une situation qu’il a lui-même qualifiée de dramatique. Brossant un tableau de la réalité, il a ajouté : « Les enfants sont toujours un peu tributaires de ce que font leurs parents« .
Malgré ces tensions, notre cher David exprime clairement son désir de reprendre contact avec Jade et Joy. Jeudi dernier, au micro de BFMTV, il a insisté: « Ce sont des jeunes femmes aujourd’hui et il faut être complètement stupide, immoral et insensible pour dire les choses autrement : ce sont quand même mes sœurs et ma porte leur est ouverte à n’importe quel moment« , affirme-t-il avec une remarquable tendresse.
David Hallyday se confie sur l’exposition consacrée à son père : « Un cambriolage »
On reconnaît le franc-parler de David Hallyday ! Notre chanteur authentique a également abordé dans son autobiographie un autre sujet qui lui tient à coeur. Il s’agit de l’exposition consacrée à son père, contenant des effets personnels de ce dernier, qui a d’abord ouvert ses portes en Belgique et se prépare à faire de même à Paris en décembre 2023. Toutefois, David Hallyday ne semble pas du tout emballé par cet évènement.
« J’ai préféré ne pas m’y rendre », a-t-il pointé du doigt dans son livre. Selon lui, cette exposition franchit une ligne dangereuse et blur la distinction entre la vie privée et le public. Il trouve le tout assez choquant : « La ligne rouge séparant la vie publique de l’intime et du sacré me semblait franchie. » Et pour cause, il évoque l’exposition en disant qu’« J’aurais eu l’impression de voir le butin d’un cambriolage ». Une transparence typique de notre cher David.