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- Le côté sombre des cryptomonnaies mis en lumière
- Quand la technologie blockchain facilite le blanchiment d’argent
- Réaction vive face à l’implication des cryptomonnaies dans des opérations suspectes
- L’ascension de la cryptomonnaie : une aubaine pour les adeptes du blanchiment ?
- La cryptomonnaie : la nouvelle destination des capitaux douteux en France
- Le guet-apens français de l’argent sale : Tracfin débordé
- FinTech versus institutions traditionnelles : le blanchiment fait sa mue
- La face cachée de la cryptomonnaie : un sujet de préoccupation pour Tracfin
- À l’ombre du numérique : l’essor des crimes cryptographiques
- Cryptomonnaies complices : l’alarme est à son comble
- Des crimes virtuels sur une pente ascendante
Le côté sombre des cryptomonnaies mis en lumière
Avez-vous déjà envisagé l’idée que vos précieuses cryptomonnaies pourraient être utilisées d’une façon malveillante ? Et oui, même dans notre univers cryptographique adoré, il y a des actes non éthiques. Mais restez calme, nous sommes là pour vous éclairer.
Quand la technologie blockchain facilite le blanchiment d’argent
Elles sont censées être le passeport pour notre liberté financière, la promesse d’une nouvelle ère de transparence et d’autonomie. Pourtant, certaines cryptomonnaies ont une face cachée qui a suscité des réactions mitigées. On parle ici des opérations financières douteuses qui, selon un rapport récent de TracFin, ont lieu au sein même de notre Hexagone.
Réaction vive face à l’implication des cryptomonnaies dans des opérations suspectes
Malgré les idylles de l’émancipation financière, le monde cryptographique n’est pas exempt de vices. Cette réalité a été soulignée récemment par TracFin, qui a signalé l’implication des cryptomonnaies dans des transactions financières suspectes.
L’ascension de la cryptomonnaie : une aubaine pour les adeptes du blanchiment ?
On connait l’inquiétude que suscite, auprès des instances dirigeantes, la possible implication des cryptomonnaies dans les transactions louches. Prenons pour exemple Elizabeth Warren, cette influente démocrate du Massachusetts, qui, dès 2023, manifestait déjà son mécontentement. En réaction, elle a proposé d’établir une régulation sur l’usage des cryptomonnaies afin de contrecarrer ces manoeuvres illégales.
La cryptomonnaie : la nouvelle destination des capitaux douteux en France
En effet, le nombre de soupçons associés à des tentatives de blanchiment par le biais des cryptomonnaies a surpassé celui observé au sein des secteurs financiers plus traditionnels en France. L’émergence de la crypto comme new age El Dorado du blanchiment est donc indéniable.
Le guet-apens français de l’argent sale : Tracfin débordé
Pour preuve, l’augmentation impressionnante de 15 % des signalements reçus par Tracfin en 2023 comparé à l’année précédente. Ce service, chargé de surveiller les flux financiers, a dû traiter presque 200 000 cas suspects. Un constat accablant.
FinTech versus institutions traditionnelles : le blanchiment fait sa mue
Et il ne s’agit point uniquement des branches financières traditionnelles. Les établissements de monnaie électronique et les prestataires de services sur actifs numériques (PSAN) ont fait état d’une explosion respectivement de 146 % et 339 % des cas de blanchiment.
Une évolution inquiétante mise en lumière par Bercy. Certes, banques et établissements de crédits restent en tête des déclarants; néanmoins, l’attention se porte de plus en plus sur les prestataires de services numériques.
La face cachée de la cryptomonnaie : un sujet de préoccupation pour Tracfin
Un Far West financier, où transparence est souvent plus insaisissable que vent du désert. Les BTC et autres cryptomonnaies deviennent alors un enjeu crucial pour Tracfin et les autorités de régulation financière.
À l’ombre du numérique : l’essor des crimes cryptographiques
D’après son rapport 2022 redoutablement révélateur, Tracfin s’insurge, arguant que les actifs de crypto sont en passe de devenir ‘la nouvelle mine d’or pour les malfaiteurs‘.
Les cryptomonnaies se retrouvent propulsées au-devant de la scène
des horreurs financières, participant de manière non désirée à une
pléthore de délits sophistiqués allant du blanchiment d’argent au financement
des activités terroristes du jihad. Tracfin déplore, que ce soient devenues « de nouvelles sources de financement pour le terrorisme», mettant en exergue leur participation active aux chaînes de transactions secrètes des réseaux criminels.
Cryptomonnaies complices : l’alarme est à son comble
Saluez à tour de bras l’opiniâtreté de Tracfin ! Bruno Le Maire, notre ministre des Finances, et Thomas Cazenave, en charge des Comptes publics, n’ont pas tari d’éloges pour le travail effectué par Tracfin. Non seulement ils ont mis à nu une masse déconcertante de fraudes financières totalisant 2,1 milliards d’euros, mais ils ont également identifié environ 1,5 milliard d’euros liés à des fraudes fiscales, sociales ou douanières.
Des crimes virtuels sur une pente ascendante
Malheureusement, ces données effroyables ne s’arrêtent pas là :
les notifications suspectes ont enregistré une hausse vertigineuse de 46 % par rapport à 2022, avec 162 708 notifications finissant sur le bureau de Tracfin. Afin de freiner cette montée en flèche de la criminalité financière, Tracfin espère renforcer ses ressources pour les années qui arrivent.
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