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Voilà enfin une manifestation concrète des promesses faites il y a peu : l’accueil et le soin des plus jeunes Palestiniens, blessés dans le terrible conflit opposant leur terre natale à Israël. Deux de ces enfants sont déjà, depuis ce 28 décembre, pris en charge par des services hospitaliers pédiatriques. Une information confirmée par un communiqué émanant du ministère français des Affaires étrangères.
« Une nouvelle opération d’accueil d’enfants palestiniens blessés ou gravement malades dès la semaine prochaine », voilà ce qui est prévu par la capitale française. Cela soutient fièrement et sans équivoque les engagements pris par le chef de notre République.
La situation actuelle est source d’une forte préoccupation pour la France. Le pays reste engagé et mobilisé pour aider la population civile. Il réitère avec force son appel pour la mise en œuvre d’une trêve humanitaire. Cette étape cruciale doit ouvrir la voie à un cessez-le-feu durable, pour garantir le passage de l’aide humanitaire et faciliter l’évacuation des blessés.
Le lourd tribut de la guerre
Chers lecteurs, n’en déplaise, le conflit en cours depuis le 7 octobre ne semble pas prêt de s’apaiser. En dépit des appels globaux pour un cessez-le-feu et la montée en flèche des pertes civiles, l’hostilité persiste. A partir des informations recueillies par le groupe Hamas, qui à bien des égards est controversé et dont les informations nécessitent une vérification plus approfondie, la majorité des 21 320 morts sont des enfants et des femmes dans la région assiégée depuis le début des attaques israéliennes.
L’impact sur Israël
Tournons-nous maintenant vers Israël, où l’attaque du 7 octobre a entraîné la mort d’environ 1 140 personnes selon l’AFP, en se basant sur les chiffres officiels les plus récents. Il semblerait que le Hamas se soit emparé d’environ 250 individus parmi lesquels 129 sont toujours détenus à Gaza.
La détermination d’Israël
En réponse à ces attaques, Israël n’a pas manqué de réagir et a promis d’anéantir le Hamas, désigné comme organisation terroriste par diverses instances dont les États-Unis, Israël et l’Union européenne. La réplique d’Israël a pris la forme d’une offensive terrestre lancée le 27 octobre, dans laquelle 167 militaires ont jusqu’à présent perdu la vie, d’après les chiffres de l’armée.
Source : AFP