Les adeptes de la royauté britannique auront le plaisir d’apprendre que notre cher Robert Hardman, écrivain et observateur expert de la couronne britannique, s’apprête à publier son ouvrage Charles III : nouveau roi, nouvelle cour. Les coulisses de l’histoire. Ce livre prometteur nous invite à partager l’intimité du fils aîné d’Elizabeth II au moment où il accède au trône.
Cet ouvrage dévoile de nombreux secrets qui n’attendent qu’à être révélés le samedi 13 janvier. Parmi eux, les révélations concernent le fameux 8 septembre 2022, une journée marquée par un événement bien sombre dans le château de Balmoral en Écosse.
Quelle histoire, mes chers lecteurs ! On y découvre des situations surprenantes, dont le faux pas protocolaire qui a déconcerté notre nouveau roi au moment de son intronisation. Flashback: Apprenant la détérioration de la santé de sa mère, le père de Prince William et Harry s’est précipité vers Balmoral, depuis Dumfries House. Il a alors passé une heure auprès de sa mère, soutenu par .
Après cet instant émouvant, notre noble héritier, alors Prince de Galles, a tenté de se détendre en cueillant des champignons, accompagné de sa femme et de trois membres de son équipe. Pendant ce temps, , a également eu l’opportunité d’accompagner sa mère. Mais ce n’est pas tout ! Sur le trajet du retour, le beau-père de se voit adresser pour la première fois l’appellation «Votre Majesté» par l’un de ses employés alors qu’il est encore en voiture. Quelle surprise !
Une boîte cadenassée renfermant deux missives captivantes
Que ne donnerait-on pas pour savoir ce que ces lettres contiennent ? C’est ce que nous dévoile Robert Hardman, dans son livre-évènement, mentionné sur le quotidien britannique. Ce dernier met en avant le rôle crucial du nouveau roi, Charles III. Il avance l’exemple d’une « situation imaginaire d’un accident ou d’un hold-up », où le roi aurait été tenu informé en premier, sans attendre l’arrêt de la voiture à Balmoral.
Passons maintenant à un point intrigue particulièrement intriguant. Robert Hardman évoque, sans en montrer le contenu, une boîte rouge verrouillée qui contenait deux lettres scellées. L’une de ces sombres missives était adressée à son fils héritier, Charles III, tandis que la seconde était destinée à Sir Edward Young, son dernier secrétaire privé. Saviez-vous que leur existence témoigne de la précision d’Elizabeth II à anticiper sa propre disparition ? Fascinant, n’est-ce pas ?
Ce que l’on peut d’ores et déjà affirmer, c’est que le contenu de ces deux missives reste confidentiel, et pourrait bien le demeurer à jamais. Un peu de mystère dans cette histoire ne fait jamais de mal, vous ne trouvez pas ?