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Querelle judiciaire en vue ! Du côté de la Bourse Électronique de Courtage (SEC), l’atmosphère s’intensifie. En réalité, la SEC mène une enquête pour trouver des marques d’une éventuelle usurpation des fonds déposés par ses utilisateurs dans les dossiers fournis par le guichet d’échange. Cependant, la SEC semble avoir un manque de preuves essentielles.
C’est là qu’intervient Binance US – BAM Trading Services, l’agent économique mère de l’exchange, qui déclare se conformer aux demandes du régulateur. Pourtant, l’impatience grandit du côté de la SEC qui cherche toujours des informations décisives. Une situation qui implique un clash entre ces deux entités à propos des preuves à fournir dans cette affaire.
Binance et la SEC en plein affrontement : Tensions autour de la production de preuves
En ce moment, c’est chaud bouillant à la Bourse Électronique de Courtage (SEC). Pourquoi ? Je vous le donne dans le mille : Binance US – BAM Trading Services a du mal à se mettre aux pas de la SEC. En pleine investigation, la SEC cherche à démêler le vrai du faux dans une affaire d’usurpation hypothétique des fonds des utilisateurs. Et cela, en dépit du manque palpable d’éléments probants.
Et pourtant, ce n’est pas faute d’avoir essayé, BAM revendique une coopération sans faille envers la SEC. Oui, mais voilà, le régulateur bouillonne d’impatience, trépigne pour des informations plus concluantes. On parle ici de véritable bras de fer entre ce régulateur et le géant de l’exchange sur l’apport de preuves par rapport à cette affaire.
« Dans le dernier rapport déposé à la Cour le 15 décembre 2023, les parties ont précisé que BAM continuait à fournir documents et dialogues en réponse aux requêtes de la SEC en date du 21 septembre 2023. Depuis le dernier rapport, BAM n’a pas fourni d’autres document. La SEC maintient que des zones importantes dans la recherche de BAM restent non résolues »
À l’évidence, la SEC soutient que ses multiples demandes d’éclaircissements sur les actifs détenus par Binance US restent Sans réponses satisfaisantes. Pour ajouter au suspens, elle veut interroger l’ex-PDG et directeur financier de BAM, alias Brian Shroder, et sa directrice administrative et financière (CFO) Jasmine Lee. Toutefois, silence radio de leur côté…
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La SEC et BAM Trading Services carrément en désaccord
Il est ici question d’une surcharge d’obligations que BAM Trading Services impute à la SEC, toute cette agitation autour d’auditions jugées excessives. Et pourtant, Brian Shroder, l’ex-PDG de ladite société, n’est plus visible depuis bien longtemps. Les avocats de celle-ci insistent même que trop de preuves ont été produites lors de la phase accélérée de découverte.
« Nous apprenons également pour la première fois que la SEC a demandé le témoignage de Brian Shroder (PDG américain) et de Jasmine Lee (CFO américain). Mais cela a été refusé et combattu en expliquant simplement que Shroder n’était plus PDG et était porté disparu depuis plus de 8 mois. »
Troublant, n’est-ce pas, que le nom de Changpeng Zhao (CZ) surgisse durant cette procédure. Sa proposition de mettre toutes ses actions de l’entreprise en garantie (une somme colossale de 4,5 milliards de dollars) ne semble pas avoir allégé la tension accrue entre les deux entités engagées dans cette querelle juridique qui s’annonce tenace.
La suppression de CZ : un obstacle majeur pour la SEC ?
Cela ne met vraiment pas les choses en ordre. En effet, les attentes de la SEC concernant la déposition de CZ est accueillie avec des pieds de plomb. Le nœud de l’affaire réside dans le calendrier, le lieu et surtout, l’étendue effective de cet interrogatoire. Toutes ces disputes mettent CZ en attente d’un verdict, fixé pour le 23 février, avec une peine pouvant aller jusqu’à 18 mois de prison.
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