La réputée actrice Béatrice Dalle s’est ouverte sur sa vie amoureuse, caractérisée par son esprit « rock’n’roll », lors de son apparition à l’émission L’Invité sur TV5 Monde ce 26 janvier. Accompagnée de sa consœur de cinéma et leur réalisatrice, elles ont été interviewées par le journaliste Patrick Simonin au sujet de leur nouveau film intitulé, Le bonheur est pour demain. Le film aborde le parcours des relations amoureuses s’opposant au système pénitentiaire, où l’un des amoureux est captif derrière les barreaux.
Ce sujet a permis à Béatrice Dalle de rappeler une partie sombre de son passé, qui retentit avec l’histoire du film, puisqu’elle a elle aussi vécu une relation avec un détenu, Guénaël Meziani, rencontré lors d’un tournage. Malheureusement, ce chapitre de sa vie est loin d’être heureux. Avec une sincérité déchirante, elle confie: « Cette histoire, j’aurais mieux fait de me prendre un camion dans la gueule », elle continue : Maintenant, je sais qu’il y a des bonnes expériences mais ça n’a pas du tout été mon cas. C’était une horreur ». Guénaël, l’ex-mari de Dalle, ayant purgé une peine pour des accusations de viol et de violence, a manifesté de nouveau des comportements violents envers elle après leur mariage en 2005. Finalement séparés en 2013, elle décrit cette période de sa vie comme une « très mauvaise expérience » qu’elle choisit d’enterrer désormais dans le passé.
Le mariage tumultueux de Béatrice Dalle raconté avec émotion
Le parcours amoureux de l’actrice Béatrice Dalle est parsemé de romances tumultueuses et le mariage qui lui a donné son nom ne fait pas exception. Vous connaissez sûrement l’histoire avec Joeystarr, mais aujourd’hui parlons de sa première union, souvent mise de côté, avec Jean-François Dalle, artiste peintre de renom. Si ce mariage a été marqué par certaines turbulences, elles étaient liées en grande partie à la célébrité croissante de notre chère Béatrice.
La comédienne raconte : « Si être connue ne m’a jamais pesé, en revanche, je crois que c’est plus compliqué pour le mec qui t’accompagne. Ça a joué, je pense, dans ma séparation d’avec mon premier mari […]. Lui était peintre, il était en quête de reconnaissance en tant qu’artiste, et voilà que cette reconnaissance tombait sur moi qui n’avais pas fait d’études, rien, qui étais juste la petite zonarde ‘kepon’ qu’il avait rencontrée. Ç’a été douloureux pour lui, oui« .